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Liserde au Mexique - invitation de Raymonde

Certains lecteurs discrets m'ont récemment sommé d'écrire à nouveau. Cette absence prolongée ne doit étonner personne. Je manipule et pénètre le monde. Je rentre en vous mes chers Français. Et trouver l'étonnement alors qu'on s'intègre, voilà chose ardue pour un être comme moi, oublieux, maladroit, féru de poèmes et de creux.

Mon ami Rose m'héberge toujours, tant qu'il peut, avec sa colocataire Walkyrine, une comédienne aux mains robustes.


Au Mexique, j'ai rencontré une plasticienne presque inconnue, Liserde. Cuisses larges et mollets fins, Liserde m’inspire, Liserde est un brouillon. Vous pourrez voir dans ses mots d’introduction à quel point elle est nuageuse, confuse, mélangée en elle-même, multiple. Elle ne s'assoit sur rien. Je la plains, mais je vous conseille vivement de la lire, car je ne serais pas étonné que vous y retrouviez un peu de vous-mêmes.


Encore trop en dessous des virgules, j'ai décidé de publier ici même son journal mexicain, rédigé à la diable au mois de mars de cette année 2010, alors qu'elle parcourait seule une parcelle de ce vaste pays où l'inattendu destine les esprits, où les hommes portent des masques par milliers.


Bien à vous et toujours parmi vous,

Raymonde

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